Répertoire de projets

Ces projets comprennent l'aménagement d'accès aux cours d'eau, d'accès aux fosses à saumon et d'accès pour le canot-camping.

Alors que la relève se fait rare dans les différents programmes de formation professionnelle et technique associés au secteur forêt-bois offerts au Saguenay-Lac-Saint-Jean, première région forestière du Québec, d'importantes pénuries de main-d'oeuvre sont déjà à nos portes en raison des départs massifs à la retraite. Il faut agir et les «Accros de la forêt» lancent un mouvement de mobilisation et des actions spécifiques (kiosque multisensoriel, site web, réseaux sociaux, etc.). Cette mobilisation de plus de 16 partenaires vise à  redorer l'image des métiers liés au milieu forestier et recruter de nouveaux étudiants et travailleurs en région.

Dix embarcations ainsi que des accessoires (rames, trousses de sécurité, gilet de sauvetage) ont été achétés pour les offrir en location à la clientèle de la zec Onatchiway.

En adéquation avec l'un des objectifs du Fonds de recherche en agriculture nordique (FRAN-02), la région s'est mobilisée afin de consolider une expertise de recherche accessible et capable de contribuer à l'innovation dans le Créneau d'excellence AgroBoréal. Cette mobilisation a permis à l'Université du Québec à Chicoutimi d'amorcer son implication en agriculture par l'arrivée d'un chercheur spécialiste des sols agricoles nordiques, M. Maxime Paré, Ph. D, qui travaille depuis le mois de mai 2013 à développer une programmation de recherche et des projets en lien avec son expertise, mais aussi avec les besoins réginaux.

L'activité comprend une excursion en forêt avec les jeunes, un rallye piste pour reconnaître les animaux et les espèces d'arbre, de même qu'une visite au boisé de cerf assistée d'une guide. 

Ce projet vise à actualiser le Plan régional de développement du territoire public (PRDTP), qui a pour objectif de déterminer, en collaboration avec les intervenants régionaux, à quel endroit, à quel moment et de quelle façon il est possible d'émettre des droits fonciers en vue d'une utilisation harmonieuse du territoire public. Le PRDTP vise à impliquer les partenaires régionaux et gouvernementaux dans la prise de décision en matière d'utilisation du territoire public. Dans le cadre d'un vaste exercice de concertation et de consultations, différents partenaires issus de ministères et d'organismes publics, de municipalités régionales de comté (MRC), de communautés autochtones ainsi que d'organismes fauniques, environnementaux et récréatifs ont été interpelés pour donner leur avis concernant l'aménagement et le développement du territoire public. C'est sur la base de ces échanges que s'est établi le contenu du PRDTP. 

En 2008, au Québec, la production biologique connaissait depuis plusieurs années une forte croissance. Le secteur des grandes cultures était celui qui avait le plus bénéficié de la participation au marché d'exportation. Cet engouement a permis le développement de nouvelles pratiques culturales favorisant la conservation des ressources (travail minimal, désherbage mécanique, etc.) et même inspiré l'ensemble du secteur conventionnel des grandes cultures. Toutefois, en agriculture biologique, le talon d'Achille était et demeure toujours la lutte contre les mauvaises herbes, car elle exige une grande consommation de carburant et de ressources (temps et machinerie). La viabilité économique de ce type de production passait donc par une réduction des coûts, alors que la viabilité environnementale passait par une réduction des travaux de sol et une meilleure utilisation des ressources en place. En agriculture, les pratiques biologiques ont été proposées comme moyen d'accroître la durabilité environnementale et économique des systèmes culturaux. Malheureusement, très peu d'études à long terme permettent de soutenir une telle évaluation. Les résultats engendrés par ces études ont permis de mieux appréhender la durabilité de ces systèmes, mais ils ont aussi soulevé plusieurs questions, entre autres, sur la viabilité économique des pratiques biologiques et sur leur réelle efficacité à améliorer la vie du sol. (Source : rapport du projet Agrinova)

Aucun outil de récolte mécanisée n'est propre et spécifique à la récolte mécanique de camerises et les coûts reliés à la récolte manuelle ne permettent pas de réaliser cette culture à des fins commerciales. Afin d'augmenter l'efficacité de la récolte et de pouvoir percer les marchés en produisant un volume intéressant de camerises, cinq producteurs du Saguenay-Lac-Saint-Jean se sont regroupés en Coopérative d'utilisation de machinerie agricole et forestière (CUMA) afin de faire l'acquisition d'une récolteuse déjà présélectionnée, de la mettre à l'essai et de l'adapter à la culture de la camerise. Ce projet de mise à l'essai a été réalisé par l'équipe d'Agrinova durant la saison estivale 2012. Ces essais ont servi à faire les ajustements mécaniques et à déterminer le calibrage idéal pour effectuer la récolte de ce petit fruit sous les conditions du Saguenay-Lac-Saint-Jean. (source : site Internet Agrinova)

La MRC de Lac-Saint-Jean-Est collabore depuis plusieurs années avec le Service des parc du Ministère des Forêts, de la Faune et des Parc en vue d'annexer au Parc national de la Pointe-Taillon des îles de propriété publique sur le lac Saint-Jean (Saint-Gédéon et Alma) ainsi que deux propriétés importantes situées sur les rives du lac Saint-Jean, dans les municipalités de Saint-Gédéon (ancien camp de touage) et de Saint-Henri-de-Taillon (lots 6 et 7).

Ce projet, réalisé dans le cadre de la maîtrise de M. Alexandre Guay-Picard, et visait l'application du bon traitement d'éclaicie au bon endroit pour favoriser une amélioration de la composition végétale des peuplements forestiers. 

L'Alliance forêt boréale se veut un point de rencontre des communautés, des travailleurs et des retraités de l'industrie forestière du Saguenay-Lac-Saint-Jean ainsi que de tous les citoyens. Elle a pour but de promouvoir le développement lié à l'exploitation durable de la forêt boréale et de nos ressources naturelles. L'Alliance forêt boréale souhaite rallier tous les acteurs socioéconomiques à sa cause; la défense de la foresterie durable, du droit de récolter et de créer de la richesse en mettant en valeur la forêt boréale.

La Forêt modèle du Lac-Saint-Jean souhaite mettre en valeur les ressources du milieu forestier et travaille à développer de nouveaux concepts et ressources issus du milieu forestier. C'est dans cette optique de diversification des usages du milieu forestier que la Forêt modèle du Lac-Saint-Jean voit un intérêt à imaginer des concepts de culture du bleuet en milieu forestier. Le développement récent des aménagements forêt/bleuet permettant à la fois la culture du bleuet et la sylviculture intensive de pins permet de maintenir la production ligneuse et d'augmenter les superficies cultivables de bleuets, une baie convoitée sur les marchés mondiaux pour ses propriétés antioxydantes. Ce concept doit aussi permettre le maintien et la pérennité d'une espèce d'oiseau peu commune au Québec et inféodée à ces peuplements particuliers de pins gris, prisés par l'industrie du bleuet : la Paruline à gorge grise. Le bleuet étant une fierté régionale, il serait dommage que cette industrie québécoise vienne à être perçue comme une industrie peu soucieuse de l'environnement et de la biodiversité en menaçant la pérennité des populations de Paruline à gorge grise. C'est dans cette optique de pro actions que la Forêt modèle du Lac-Saint-Jean s'est investie dans ce projet visant à mieux comprendre les populations de Paruline à gorge grise et leur biologie en vue d'imaginer une cohabitation permettant d'adapter les pratiques agricoles tout en assurant la pérennité de cette espèce.

Ce parc a été aménagé dans le but de sensibiliser et d'éduquer la population par rapport à l'environnement, à la flore et à la faune du secteur.