Répertoire de projets

Un plan de développement a été réalisé dans le but de poursuivre l'explansion du site touristique Chute à l'Ours et une nouvelle tout d'observation d'une hauteur de 40 pieds et d'un diamètre de 30 pieds a été construite.

Le présent plan de gestion énumère les actions qui permettront d'améliorer la gestion des ressources halieutiques et, par le fait même, la pêche sportive. Pour chaque espèce, il identifie les priorités en termes de suivi de la ressource et de l'exploitation, de gestion et de développement de la pêche sportive, de développement des connaissances, de protection de la ressource et de règlementation.

Le plan de protection et de mise en valeur de la forêt privée (PPMV) vise essentiellement à orienter et développer les ressources naturelles du territoire privé. Le PPMV est un outil de connaissance et de planification à l'échelle régionale guidant les actions à entreprendre pour protéger et mettre en valeur les ressources, et ce, selon les principes de l'aménagement durable des forêts. Le PPMV est basé sur la connaissance du territoire, des diagnostics et des enjeux actuels propres au domaine forestier.

À l'arrivée des premiers Européens en Amérique, le caribou forestier était établi dans toutes les provinces canadiennes et dans la plupart des États américains voisins du Canada. Toutefois, depuis plusieurs décennies, la limite méridionale de son aire de répartition a graduellement remonté vers le nord et ses populations ont connu un déclin notable. Son aire de répartition, qui s'étendait au sud du fleuve Saint-Laurent, a régressé aujourd'hui jusqu'au nord du fjord du Saguenay. En vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables du Québec, le caribou forestier a été désigné espèce vulnérable en 2005. Un premier plan de rétablissement (2005-2012) a été publié et mis en œuvre dans les cinq régions administratives concernées. Le niveau de connaissance sur le caribou forestier a considérablement évolué au cours des dernières années, ce qui a permis de procéder à une mise à jour du plan de rétablissement dans laquelle l'écologie et les besoins de l'espèce tels que nous les comprenons maintenant sont pris en compte. Ainsi, la version 2013- 2023 du Plan permet de définir la situation historique et actuelle du caribou forestier et, à la lumière des progrès réalisés en matière d'acquisition de connaissances, de proposer des stratégies de rétablissement appropriées. Bien que l'acquisition de connaissances soit un processus dynamique, perfectible et en constante évolution, l'équipe de rétablissement considère que les connaissances actuelles permettent l'élaboration et la mise en œuvre de mesures visant, entre autres, un aménagement forestier viable à long terme pour les populations de caribous forestiers. L'évaluation de la situation du caribou forestier par l'Équipe commande que des actions de rétablissement très concrètes et pressantes soient appliquées, particulièrement sur le plan de l'aménagement et de la restauration de l'habitat. Il est toutefois essentiel de préciser que les mesures proposées dans le Plan, qu'elles soient directement liées à l'habitat ou non, sont complémentaires et doivent être mises en œuvre simultanément afin de maximiser les chances de rétablir le caribou forestier au Québec. Ainsi, il s'avère impératif de mettre en œuvre des mesures visant non seulement le maintien d'un effectif viable d'individus, mais également celles qui visent l'atteinte d'un niveau de recrutement suffisant pour le maintien à long terme des populations. Cela sera possible par l'atténuation de l'empreinte anthropique au sein de l'aire de répartition du caribou forestier.

Le bassin versant de la rivière à Mars couvre une superficie de 663 km2 qui chevauche les régions administratives du Saguenay-Lac-Saint-Jean et de la Capitale Nationale. Une portion des municipalités régionales de comtés du Ford du Saguenay et de Charlevoix, des municipalités locales de Saguenay et de Ferland-et-Boileau ainsi que de quelques territoires non organisés occupent le bassin versant. La rivière à Mars prend sa source aux lacs Turcotte et à Mars dans la réserve faunique des Laurentides et se déverse environ 95 km plus loin dans la baie des Ha!Ha! de la rivière Saguenay. Les débits moyens enregistrés varient entre 26 et 40 m3 /s. C'est un cours d'eau caractérisé par un lit dynamique, une susceptibilité aux crues et la présence de zones inondables habitées. Selon le calcul de l'indice de qualité bactériologique et physicochimique, une bonne qualité de l'eau se maintient à l'embouchure depuis plus de 10 ans, et ce, bien que le territoire ait connu les pluies diluviennes et les inondations de juillet 1996. Le réseau hydrographie est élaboré et comprend un grand nombre de cours d'eau, de plan d'eau et de milieux humides. La localisation, l'hydrologie et la composition bactériologique et physicochimique de l'eau souterraine demeurent inconnues. Le bassin versant de la rivière à Mars est exposé à un climat de type continental humide plutôt doux. Les précipitations les plus importantes au Québec en termes de quantité tombent sur la tête du bassin. L'affectation du sol est diversifiée dans la portion habitée, mais généralement à dominance forestière. Différents régimes de tenures se côtoient avec une prépondérance pour les terres publiques. La population est estimée à 5087 habitants. Au sein des communautés biologiques aquatiques et riveraines, les salmonidés, le castor du Canada et l'orignal ainsi que les essences forestières apparaissent comme les principaux groupes d'espèces d'intérêt. L'érosion des bandes riveraines et les feux de forêt constituent les plus importantes perturbations des milieux naturels. Les nombreux accès au bassin versant comprennent des voies routières, ferroviaires, aériennes et fluviatiles. Dans le secteur municipal et résidentiel, les activités humaines et l'utilisation du territoire qui impliquent ou sont susceptibles d'avoir un impact sur l'eau sont l'alimentation en eau potable, la collecte et le traitement des eaux usées, des neiges usées, des matières résiduelles, l'épandage d'abrasifs routiers, de fertilisants et de pesticides. Des activités primaires et secondaires des secteurs industriel, minier, énergétique, agricole et agroalimentaire sont également présentes. Finalement, d'autres activités commerciales, récréotouristiques et relevant de la défense nationale et de la conservation impliquent l'eau. Les principales problématiques liées à l'eau sont le manque de suivi de sa qualité pour un plus large éventail de contaminants et en divers endroits du bassin versant, la dégradation de certains habitats de la ressource halieutique, l'érosion de berges, les inondations de zones habitées et la faible offre d'activités récréatives impliquant l'eau. Ces problématiques concernent quatre enjeux de l'eau, soit la qualité, les écosystèmes, la sécurité et l'accessibilité. À la lumière du portrait et du diagnostic, 16 actions ont été identifiées pour entamer la résolution des problèmes de l'eau sur le bassin versant de la rivière à Mars. Ces actions impliquent de la sensibilisation, de l'acquisition de connaissances, des travaux d'aménagement et de la réglementation.

L'analyse du bassin versant de la rivière Ticouapé a permis de cibler quatre problématiques importantes de quantité et qualité de l'eau qui nécessiteront ou pourraient nécessiter des interventions précises dans les années à venir. Ces problématiques sont les suivantes :

• Le potentiel des aquifères et la qualité des eaux souterraines
• L'apport de phosphore et de contaminants dans les eaux de surface
• L'état de la bande riveraine
• L'érosion des berges

Le Plan directeur des chemins multiusages aspire à favoriser le développement de l'ensemble des potentiels et usages et à répondre aux besoins du plus grand nombre d'utilisateurs du territoire public. Il vise à dégager une vision régionale concertée de l'accès au territoire, à favoriser une meilleure coordination des actions ainsi qu'à optimiser l'utilisation des ressources sur le territoire. Le Plan repose sur la participation des acteurs régionaux et se veut un outil de planification souple, évolutif et en continuité des différentes planifications préexistantes. 

Ce projet vise le développement d'un outil de planification forestière pour organiser les interventions forestières sur le territoire

En 2007, la Conférence régionale des élus (CRÉ) du Saguenay-Lac-Saint-Jean et le Conseil des Montagnais du Lac-Saint-Jean ont implanté la Commission régionale sur les ressources naturelles et le territoire (CRRNT) dont le mandat principal était l'élaboration d'un Plan régional de développement intégré des ressources et du territoire (PRDIRT). Ce plan, qui vise à traduire la vision du milieu régional en matière de développement et de mise en valeur des ressources naturelles et du territoire, a été confectionné dans l'optique d'une amélioration des connaissances, de l'harmonisation des usages et dans une perspective de développement durable. Le PRDIRT expose donc comment, de l'avis du milieu régional, les ressources naturelles et le territoire peuvent être mis à contribution pour soutenir le développement de la région. Six domaines d'affaires, dont l'eau, l'énergie, la faune, la forêt, les mines et le territoire, sont documentés dans le PRDIRT. Chaque domaine d'affaires a fait l'objet d'un portrait. Ces portraits ont permis de faire un état de situation régional du secteur d'activité.

Ce projet a permis la rédaction du Plan de prévention contre la prolifération des algues bleu-vert au Saguenay-Lac-Saint-Jean, la création d'outils informatifs et la mise en ligne d'un guichet unique sur les algues bleu-vert. Plusieurs actions concrètes ont également été effectuées en bordure de certains lacs de la région dans le but de lutter contre la prolifération des algues bleu-vert, parmi lesquelles l'achat et la distribution d'arbustes, la caractérisation et l'aménagement de bandes riveraines, l'identification de sources potentielles de polluants, l'échantillonnage, l'installation de dispositifs pour régulariser le niveau de l'eau et des activités de sensibilisation des riverains.

Dans le cadre de cette démarche, plusieurs projets ont été réalisés, parmi lesquels la réation de sites Web municipaux et la réalisation d'études, de sondages ou d'enquêtes devant soutenir les choix à effectuer par les élus en matière de développement.

Ce plan vise à définir la vision et objectifs de développement du secteur des bleuets sauvages pour les 5 prochaines années.

Ce projet vise la réalisation du plan de revitalisation des infrastructures touristiques de Péribonka.